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ГРАММАТИКА. Вопросительные наречия в косвенном вопросе






Вопросительные наречия в косвенном вопросе

 

(Прямой вопрос) (Косвенный вопрос)
allez-vous? Comment partirez-vous? Quand partirez-vous? Dites-moi où vous allez. Dites-moi comment vous partirez. Dites-moi quand vous partirez.
Est-ce que vous partez? = Partez-vous? Dites-moi si vous partez, (вопрос к глаголу)

Вопросительные местоимения те же, что и в прямом вопросе. Но, если
вопрос ставится к глаголу, то вместо оборота EST-CE QUE или инверсии
следует употреблять наречие si (если).

//— Косвенный вопрос и инверсия подлежащего

(а) Когда подлежащим является местоимение: je, tu, il (elle), nous,
vous, ils (elles);ce;on, инверсия [ никогда] не делается: Dis-moi à qui
tu parles, quand il partira.

(б) Когда подлежащим является существительное, то:

(1) [возможна] инверсия с quand, comment, combien, où, ce que:
Dis-moi où va ton pè re,ton pè re va; ce que fait ton pè re, ce que ton pè re fait.

(2) С si, pourquoi, инверсия [ никогда] не делается:

Dis-moi si ton pè re viendra, pourquoi ton pè re viendra (см. Урок 49).

Примечание: С вопросительным si возможно употребление Futur, в огличие
от «-условного союза, после которого употребление Futur невозможно:
S'il vient demain, je le recevrai — (см. Урок 34).

DEUIL (m.) CHEZ LES LEGRAND

Madame Legrand vient de perdre sa mè re. Jusqu'à l'hiver dernier,
cette vieille dame avait joui d'une belle vieillesse'; mais il y a un mois,
elle a eu une mauvaise grippe, son é tat (m.) s'est vite aggravé et.
malgré les soins (m.) de sa fille et le traitement é nergique de son
mé decin, elle est morte, heureusement sans souffrance (f.).

Madame Legrand est trè s abattue; mais la douce Madame Vincent
lui fait du bien. Elle vient voir sa pauvre amie autant qu'elle le peut, elle


lui té moigne sa sympathie avec dé licatesse et elle est toujours prê te
à rendre service (m.).

«Dites-moi si je puis faire quelque chose pour vous2. Avez-vous une
robe noire pour la cé ré monie de demain? — Oui; j'en ai acheté une
dans un Grand Magasin. Je vais faire teindre*3 mes autres vê tements.
J'aurai ainsi ce qu'il me faut pour porter le deuil de ma mè re. —
Voulez-vous que j'aille commander les fleurs? Indiquez-moi seulement
je dois m'adresser et ce qu'il faut commander: une gerbe? une
couronne? — Je pré fè re une grande croix que l'on posera sur le
cercueil. Notre fleuriste saura la composer avec goû t. J'aimerais du
li las et des tulipes (f.) rosé s. Vous ê tes gentille d'y aller pour moi,
merci. — Mettrez-vous une annonce dans les journaux? Enverrez-vous
des faire-part (m.)4? — Non, l'enterrement (m.) se fera dans
l'intimité. Notre famille proche viendra avec nous à l'é glise Saint-Roch.
où lé service funè bre aura lieu à 10 heures. Puis, mon mari et moi,
nous accompagnerons le cercueil jusqu'en Champagne: Maman sera
enterré e dans notre caveau de famille. Nous enverrons les faire-part
seulement aprè s cette pé nible journé e».

On sonne: c'est un té lé gramme de condolé ances (f.) envoyé par des
amis lointains.

Примечания:

1. Старость ее была безоблачной, т.е. у нее было хорошее здоровье. I

2. Могу ли я что-нибудь сделать для вас; чем-то вам помочь.

3. Перекрасить. Teindre, la teinture, le teinturier, la teinturiè re...

4. Оповещения. Nom composé invariable.

*Le veuf, la veuve, l'orphelin, l'orpheline = Вдовец, вдова, сирота.
** Verbe teindre: se conjugue comme é teindre.

УПРАЖНЕНИЯ

I) Найдите в тексте и выпишите все вопросительные предложения Распреде-
лите их по группам: прямой вопрос; косвенный вопрос.

II) Используйте вопросительные предложения из упражнения 1) и переведите
прямой вопрос в косвенный и наоборот. (Напр.: (a) Viendras-tu? = Je me demande
si tu viendras; (6) Dis-moi ce que je dois faire = que dois-je faire?)

III) Переведите прямой вопрос в косвенный- Où allez-vous0D'où sont-ils
venus?
Par où ê tes-vous passé s?Quand reviendrons-nous?Depuis quand
sont-elles parties?
Pendant combien de temps resterez-vous en France?Pour


combien de temps s'en va-t-il?Combien de valises emporte-t-il?Combien y a-t-il
de ponts dans Paris?Combien de thé â tres y a-t-il?Où peut-on entendre de la
belle musique?
Où joue-t-on des piè ces du thé â tre classique?Pourquoi es-tu
revenu si vite?
—- Comment as-tu voyagé?

IV) (a) Преобразуйте простую инверсию в сложную. Напр.: Où vivent tes
parents? = Où tes parents vivent-ils?) Où travaille ton pè re?Où sont allé s mes
parents?
Par où est passé M. Vincent?Quand repartiront les voyageurs?
Quand a é té bâ tie cette maison?
Comment se portent vos amis?Combien d'autos
fabrique cette usine?

(б) Используйте вопросительные предложения из задания (а) и переведите
прямой вопрос в косвенный. (Напр.: Où vivent tes parents? —1) Dis-moi où vivent
tes parents; 2) Dis-moi où tes parents vivent.)

V) (a) Преобразуйте данные ниже предложения и напишите: 1) с est-ce que
предложения, содержащие инверсию подлежащего; 2) с инверсией, предложения,
содержащие оборот " est-ce que". (Напр.: Pleut-il? = Est-ce qu'il pleut?) Pleut-il?
Fait-il beau?Est-ce qu'il y a de l'orage dans l'air?Y a-t-il des nuages?Est-ce

qu'il a plu?Viendrez-vous?Partiront-ils?Vous ê tes-vous bien amusé s? ______

Avez-vous compris?Est-ce que tu t'es promené ce matin?Est-ce qu'elles se sont
mises en retard?
Faut-il pré parer les bagages?La France est-elle un pays
inté ressant?
Est-ce qu'on s'ennuie en France? (б) Используйте вопросительные
предложения из задания (а) и переведите прямой вопрос в косвенный.

VI) Переведите прямой вопрос в косвенный: Qui est-ce qui a té lé phoné?
Que dis-tu?A qui é crivez-vous?Que fait-il?Qu'est-ce que vous avez dit?
Qui demandes-tu?Que demandes-tu?Qu'est-ce que vous avez demandé?Avec
quoi joues-tu?
A quoi pensent-ils?Qui est-ce que tu inviteras?


ТЕКСТЫ ДЛЯ ЧТЕНИЯ: УРОКИ 47 — 51

UNE GRÈ VE

Je venais de passer mon certificat1 quand ma mè re tomba malade. Elle
é tait malade de la maladie des pauvres: elle avait une bronchite. Elle s'alita
en novembre et de tout l'hiver2 ne put travailler. Elle resta donc à la maison,
et les voisins, mon pè re, moi-mê me, nous la soignâ mes de notre mieux. Les
é conomies furent vite dé pensé es. Le premier mois, tout y passa3. Mon pè re
travaillait de toutes ses forces. Je l'aidais. Je me souviens comme d'hier de
ces soirs de dé cembre. Ma mè re toussait au fond de son lit, avait grand-
peine à garder son souffle. Nous travaillions au bahut sous la lampe. Je
battais les semelles4 mouillé es. Mon pè re enfonç ait les semences, cogne,
cogneras-tu5... Il fallut par surcroî t de malheur qu'une grè ve é clatâ t dans
l'usine où travaillait mon pè re. Il essaya, pendant quelques jours, de le
cacher. Le matin, il faisait semblant «d'aller à la boutique», comme
à l'habitude, et rentrait une demi-heure aprè s, disant qu'il n'y avait pas
d'ouvrage. Du fond de son lit ma mè re gé missait:

«Mais qu'est-ce qu'il y a? Qu'est-ce qu'on va devenir?»6

Bientô t il n'y eut plus d'argent. J'allai chez le boulanger chercher un
pain de six livres.

«As-tu de l'argent? me dit-il. Ouvre tes mains et donne-moi dix-sept
sous».

Mes mains é taient vides. Je revins à la maison sans pain. Ma mè re
me dit que c'é tait bien ainsi, que le pain qu'on n'avait pas payé ne passait
pas. Alors il fallut bien lui avouer la vé rité. Ce fut une terrible scè ne.
Ma mè re se leva, se peigna, s'habilla, sans dire un mot: elle é tait
blanche comme cire. Et la voilà partie à la fabrique.

«Puisque les hommes ne veulent pas travailler, je vais travailler,
moi», nous lanç a-t-elle sur la porte.

Mon pè re n'avait rien à ré pondre. Il n'essaya pas de la retenir. Je
sanglotais, la tê te dans les mains. Mon pè re, le visage crispé, devant la
fenê tre, regardait tomber la pluie...

Ma mè re n'alla pas loin. J'avais couru aprè s elle. Elle marchait vite.
Je ne sais quoi7 la soutenait. Et tout d'un coup, à une centaine de mè tres
de moi, elle chancela, et prise d'une faiblesse tomba dans la boue. Des
gens qui passaient m'aidè rent à la relever et à la ramener à la maison.


Elle n'é tait plus en colè re; elle gé missait doucement en s'appuyant sur
mon é paule. Mon pè re, quand nous rentrâ mes, n'avait pas quitté la
fenê tre. Il aida ma mè re à se recoucher.

L'aprè s-midi fut longue et triste. Je n'allai pas à l'é cole. Je pelai et je fis
bouillir des châ taignes pour le soir. Il faisait sombre. Le ciel dehors é tait
bas. Vers cinq heures, il faisait nuit noire, mais par é conomie nous n'avions
pas allumé la lampe. Mon pè re é tait assis prè s du poê le, il se leva soudain,
prit sa toilette8 dans le tiroir du bahut et sortit. Il rentra une heure aprè s, jeta
sa toilette pleine sur la table et nous dit avec une sorte de haine: «Tenez,
vous en voulez de l'ouvrage... En voilà». Oui, je crois qu'il nous haï ssait en
ce moment-là, parce que nous l'avions obligé à se dé shonorer. Nous
travaillâ mes tard dans la nuit. Comme j'assouplissais le cuir en le battant,
mon pè re me commanda de frapper moins fort, comme s'il eû t craint qu'on
entendî t chez les voisins Je bruit de ce travail sans honneur.

Le lendemain, j'allai à l'é cole. J'é tais inquiet. A onze heures et
demie, je revins en courant. Mon pè re travaillait au bahut. Je pré parais
le dî ner, quand on entendit dans l'escalier des pas et des chuchotements.
Puis, brusquement, quelqu'un frappa à la porte. Le temps de jeter la
toilette par-dessus le bahut et l'ouvrage en train9, et mon pè re
commanda d'entrer. Trois camarades de mon pè re entrè rent. Je les
connaissais bien. Le plus jeune des trois, un petit boiteux, prit la parole:
«Jean, on nous a dit que tu avais pris de l'ouvrage à la fabrique. On n'a pas
voulu le croire, nous autres, et alors, on est venu te demander si c'é tait vrai».

Mon pè re baissait la tê te, ne ré pondait pas. Ma mè re du fond de son lit
cria: «Allez-vous-en. Vous n'avez pas honte? On ne vous a rien
demandé. Est-ce que vous ne pouvez pas laisser les pauvres gens
souffrir en paix?»

Le boiteux voulut tirer la toilette, mais mon pè re, d'un geste, lui dé fendit
d'approcher. Ce fut lui-mê me qui enleva la toilette et dé couvrit l'ouvrage.

«C'est vrai, dit-il, j'ai pris une livraison hier soir. Vous voyez bien
que ma femme est malade, je ne pouvais pas faire autrement».

Alors ce furent des cris, des injures: «Lâ che, vendu!»

Le pè re Portelette, lui, ne cessait de ré pé ter: «Jean, on n'aurait jamais
cru cela de toi!» Et ces paroles, plus que toutes les injures, é murent mon
pè re. Quand ils furent sortis, mon pè re ramassa l'ouvrage commencé et
dit à ma mè re qu'il ne l'achè verait pas.

D'aprè s J. GUEHENNO, Journal d'un homme de quarante ans.
214


Примечания;

1. Свидетельство об окончании начальной школы, которую обычно кончают
в двенадцать лет.

2. Pendant tout l'hiver. — De ma vie, je n'ai vu des gens aussi pauvres = Pendant
toute ma vie...

3. Все кончились, были потрачены. Nous y passerons tous = Nous mourrons
tous. Le temps passe vite = Le temps s'é coule vite.

4. Я отбивал (деревянным молотком) подметки, чтобы они стали гибкими
(проф.) Не путать с: Je bats la semelle = Я постукивал ногами по земле, чтобы
согреться.

 

5. Expression familiè re qui traduit l'acharnement au travail.

6. = Qu'est-ce que nous allons devenir? Emploi familier de on, remplaç ant nous.
On est parti
à cinq heures = Nous sommes partis à cinq heures.

7. Quelque chose que je ne connais pas. «Je ne sais qui, je ne sais quoi, je ne sais
où»
forment des expressions comme «n'importe qui, n'importe quoi...».

8. Кусок холстины, в который сапожники и портные заворачивают свой товар.

9. On est en train de faire l'ouvrage; l'ouvrage est donc en train. — La toilette est
jeté e sur les souliers pour les cacher.

UN JOUR DE PÂ QUES AGITÉ
ou: TREIZE1 À TABLE

«Monsieur Poum2! votre maman vous appelle».

Pauline jette ces mots dans l'entrebâ illement de la porte et disparaî t.
Poum file le long du corridor. Elle n'aurait pas l'audace de lui faire
ré citer sa table de multiplication, un jour de Pâ ques? Serait-ce pour
s'informer — bien curieux, vraiment! — si Poum a recopié sa dicté e? Il
n'est pas rassuré. Des é clats de voix lui parviennent: son pè re et sa mè re
sont aux prises3.

«Impossible d'ê tre treize, dit maman.

— Il est trop tard pour inviter un quatorziè me», dit papa.
Poum entre en coup de vent: son arrivé e tranche le diffé rend.
«Poum, dit papa, tu dî neras ce soir à table pour faire le quatorziè me.

— Et tu ne mettras pas les coudes sur la nappe.

— Et tu ne donneras pas de coup de pied à ton voisin, M. Gourd, ni à
ta voisine, Mme de Falcord».

Poum reste é bloui, comme si la nappe et les cristaux, son argenterie, les
flammes du lustre l'aveuglaient. Puis un immense orgueil le suré lè ve.
«J'aurai des petits verres comme tout le monde, implore-t-il.


— Oui, mais on ne te mettra rien dedans».

Ç a lui est é gal, du moment qu'il a le jeu d'orgues4 en cristal, les trois
verres par rang de taille et la flû te5 à Champagne.
«Je mangerai de tout, suggè re-t-il.

— Prudemment, Poum, prudemment. Tu n'auras pas de poisson
parce qu'il y a beaucoup d'arê tes, et pas d'asperges, parce que ç a
t'é chauffe. Ne demande pas de foie gras non plus, c'est trop lourd.

— Oh! maman!»

Il se traî nerait à ses genoux, il ferait des bassesses. Du foie gras, oh!
une bouché e, une bouché e et mourir6!
«Alors un soupç on7.

— Et de la truffe?

— Une tê te d'é pingle8.

— Et de la glace?

— Oui, c'est promis. Tu mettras ton costume de velours. Et ne salis
pas ton col et tes manchettes surtout.

— Maman!

— Quoi!»

Il fait des yeux de poisson frit9 et la supplication jaillit de ses
prunelles:

«On ne me nouera pas la serviette au cou10, et je mettrai moi-mê me
le coin trè s haut, trè s haut, au premier bouton?»11

Maman consent, Poum, fou de joie, s'é vade en sautant et en dansant.

D'abord il va renifler à la cuisine:

«Marianne, dit-il à la cuisiniè re, Marianne, je dî ne à table ce soir».

Elle accueille cette nouvelle avec indiffé rence. Mais il ajoute:

«II faudra soigner votre affaire12, hein!»

[A l'office: ]

«Firmin, je dî ne à table, ce soir».

Cela n'a pas l'air du tout d'inté resser Firmin.

«Vous me mettrez des petits verres».

Firmin s'absorbe dans un repassage fré né tique des couteaux.

«Vous me servirez du foie gras».

Firmin se met à siffler le «Roi Dagobert»13.

«Et vous me donnerez beaucoup de glace aux fruits».

Poum, satisfait, court à la lingerie:

«Pauline, je dî ne à table, ce soir!


— Ah! bien, je connais quelqu'un qui aura une jolie petite
indigestion.

— Et vous savez, Pauline, il faut m'habiller tout de suite et me
mettre mon col et mes manchettes de dentelle.

— Il est trop tô t; vous auriez le temps de vous salir.

— Non, Pauline, non, je ferai bien attention».
Mais Pauline se refuse à l'habiller avant cinq heures.

Enfin voilà le joli pantalon de velours. Poum, devant la glace, se
disloque pour le faire valoir, tend la jambe (...)

«Allons, monsieur Poum! Quand vous aurez fini de faire la
grenouille!»

Voilà la veste qui prend si bien l'é lé gante taille de Poum.

«N'est-ce pas, Pauline, elle me va dans la perfection? /

— Oh! oui, un singe habillé!»

Ah! là là! Qu'est-ce qui se passe? Des voix, de la mauvaise humeur,
papa et maman dans le corridor, et papa tient une dé pê che en main; il
dé clare:

«C'est stupide! voilà M. Gourd qui s'excuse: il est malade».
Maman gé mit:
«Nous retombons à treize!»
Papa dit:

«Otons Poum! nous serons douze».
Maman ré pè te, frappé e de cet é clair de gé nie:
«Otons Poum!»

On ô te Poum; Poum dî nera seul dans sa chambre (...). Il aura, pour se
consoler, des asperges. Il en aura. Et de la glace. Oui, beaucoup de glace.

Paul et Victor MARGUERITTE, Poum.
Примечания:

1. Число тринадцать считается несчастливым.

2. Пум — мальчик лет восьми-девяти.

3. Спорили, бранились. Deux adversaires qui se battent sont aux prises. Le pè re et
la mè re de Poum ne se battent pas, mais ils discutent: ils sont aux prises.

4. Dans un orgue, c'est la rangé e des tuyaux qui sont de longueur diffé rente et
rendent des sons diffé rents; les trois verres (le verre à eau, le verre à bordeaux, le verre à
bourgogne) et la flû te à Champagne, rangé s devant l'assiette, ressemblent à un jeu
d'orgues.


5. On boit le Champagne dans une flû te (verre allongé) ou dans une coupe (verre large et é vasé).

6. Всего один глоток (кусочек), и умереть. Ср «Voir Naples, et mourir!»

7. Капельку, чуть-чуть.

8. С булавочную головк>, т.е. крошечку.

9. Expression populaire: les yeux des poissons frits sont blancs et fixes; ils semblent
supplier.

 

10 Детям за столом повязывали салфетку.

11 Сейчас по правилам хорошего тона салфетку кладут на колени.

 

12. 11 faut faire avec soin votre cuisine. Le nom affaire (f) a un sens trè s gé né ui
C'est mon affaire = c'est mon travail, cela me regarde J'ai affaire à lui = J'ai à lui partø
de quelque chose.

13. Народная песенка о добром старом короле, который надел шины задом
наперед







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