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  • III) Поставьтеследующие глаголы в infinitifprésent и passé passifs, в participe






    pré sent и passé passifs: entendre; é teindre; mettre; connaî tre; couvrir; souscrire.


    IV) Переделайте следующие предложения, заменив не выделенные к\ рейвом
    слова формой Infinitif pré sent, перед которой в некоторых случаях будет стоять
    предлог. (Напр.: Je sais ma leç on, j'en suis heureux = Je suis heureux de savoir ma
    leç on.) Il faut que l'on sorte. — J'entends qu'on parle. — Je ferai une promenade avec
    toi, je le dé sire beaucoup {Je dé sire beaucoup...).
    — Viens avec moi, tu le dois.
    Avant le dé part vous viendrez me voir (avant de...). —// me té lé graphiera avant son
    arrivé e. — Je me lè ve de bonne heure, j'en suis content. — Je me lè ve tô t, je n'en suis
    pas fâ ché.
    — II s'aperç oit que ses amis sont partis, il en est tout é tonné. — // s'en va et
    il ne me pré vient pas (Il s'en va sans...). — // s'en va et il ne dit pas un mot. — // s'en va
    sans
    qu'on l'entende (infinitif passif). — // s'en va sans qu'on le voie (infinitif passif). —
    Tu n'iras pas chez les Dupont si tu n'es pas invité (sans...).

    V) Переделайте следующие предложения, заменив не выделенные курсивом
    слова формой Infinitif passé, перед которой будет стоять предлог (Напр.: Aprè s le
    bain, elle s'est é tendue sur le sable = aprè s s'ê tre baigné e, elle...). Aprè s une promenade
    (v. se promener) je suis rentré chez moi.Aprè s une promenade, elles sont rentré es
    chez elles.
    Aprè s une promenade, nous rentrerons chez nous.Aprè s la bataille
    (v. se battre), ils ont fait la paix. —Quand nous aurons fait nos devoirs (aprè s +
    v. faire), nous sortirons.
    — Quand vous aurez appris vos leç ons, vous irez jouer.Tu
    ne sortiras pas
    si tu n'as pas fini ton travail (sans + v. finir). Tu ne sortiras pas si tu ne
    t'es pas baigné (sans + v. se baigner).Tu n'iras pas chez les Martin si tu n'as pas é té
    invité. — Je me suis levé tô t, j'en suis content. — Je me suis habillé de bonne heure, je
    n'en suis pas fâ ché.

    VI) Переделайте следующие предложения, заменив не выделенные курсивом
    слова выражениями: n'importe quel (n'importe quelle, quels, quelles); n'importe
    qui; n'importe lequel.
    Il faut s'inté resser à toutes sortes de travaux. — Je suis curieux
    de chaque objet.— Prê tez-moi un livre, le premier venu. — Demandez à quelqu'un,
    celui-ci ou celui-là; il vous dira où j'habite.J'ai raison et tout le monde sera de mon
    avis.


    ТЕКСТЫ ДЛЯ ЧТЕНИЯ: УРОКИ 37 - 41

    UNE PARTIE DE PELOTE BASQUE

    Le moindre hameau, au pays basque, a sa place pour le jeu de
    paume, grande, soigneusement tenue, en gé né ral prè s de l'é glise, sous
    les chê nes. (...) Elle est dallé e de larges pierres entre lesquelle des
    herbes poussent. Des deux cô té s s'é tendent, pour les spectateurs, de
    longs gradins, qui sont en granit rouge de la montagne voisine. Et au
    fond, le vieux mur monumental se dresse, contre lequel les pelotes
    viendront frapper.

    Enfin ils entrent dans l'arè ne, les pelotaris, les six champions parmi
    lesquels il en est un en soutane, le vicaire de la paroisse (...).

    A leur poignet droit, les joueurs attachent avec des laniè res une
    é trange1 chose d'osier qui semble un grand ongle courbe leur allongeant
    de moitié l'avant-bras: c'est avec ce gant qu'il va falloir saisir, lancer et
    relancer la pelote, une petite balle de corde serré e et recouverte en peau
    de mouton, qui est dure comme une boule de bois (...).

    Et la partie commence (...). La balle, lancé e à tour de bras2, se met
    à voler, frappe le mur à grands coups secs, puis rebondit à travers l'air
    avec la rapidité d'un boulet.

    D'instant en instant, clac! toujours le coup de fouet des pelotes, le
    bruit sec contre le gant qui les lance ou contre le mur qui les reç oit (...).
    Parfois les joueurs [arrê tent la balle] au vol. Le plus souvent, sû rs
    d'eux-mê mes, ils la laissent tranquillement toucher terre, presque
    mourir: on dirait qu'ils ne l'attraperont jamais! et clac! elle repart
    cependant, prise juste à point, grâ ce à une merveilleuse pré cision de
    coup d'œ il, et s'en va frapper le mur, toujours avec sa vitesse de boulet.

    P.LOTI, Ramuntcho.
    Примечания

    1. — Странная, удивительная. — É tranger = qui est d'un autre pays, d'une autre
    province. Le jeu de la pelote basque é tonne les é trangers

    2. Avec toute la force du bras — со всей силой, изо всех сил.


    LA RÉ COLTE DES FOUGÈ RES AU PAYS BASQUE

    C'é tait la saison tardive où l'on coupe ces fougè res qui forment la
    toison1 des coteaux roux. Et de grands chariots à bœ ufs, qui en é taient
    remplis, roulaient tranquillement, au beau soleil mé lancolique2, vers les
    mé tairies isolé es, laissant au passage la traî né e de leur senteur. Trè s
    lentes, par les chemins de montagne, s'en allaient ces charges é normes
    de fougè res; trè s lentes, avec des tintements de clochettes. Les bœ ufs
    attelé s, indolents et forts, — coiffé s tous de la traditionnelle peau de
    mouton couleur de bê te fauve, qui leur donne l'air de bisons ou
    d'aurochs, — traî naient ces chariots lourds, dont les roues sont des
    disques pleins, comme celles des chars antiques. Les bouviers, le long
    bâ ton à la main, marchaient devant, toujours sans bruit, en espadrilles,
    la chemise de coton rosé dé couvrant la poitrine, la veste jeté e à l'é paule
    gauche, — et le bé ret de laine trè s enfoncé sur une face rasé e, maigre,
    grave, à laquelle la largeur des mâ choires et des muscles du cou donne
    une expression de solidité massive. Ensuite, il y avait des intervalles de
    solitude4, où l'on n'entendait plus, dans ces chemins, que le bourdon-
    nement des mouches, à l'ombre jaunie et finissante5 des arbres.

    P. LOTI, Ramuntcho
    Примечания:

    1 Руно.

    2 Меланхолическое, вызывающее сладкую грусть

    3 Погонщики быков.

    4 Периоды одиночества

    5. В желтой и редеющей (просвечивающей оттого, что листья опадают) гени

    L INCENDIE DE LA FABRIQUE

    II é tait dix heures du soir lorsque j'arrivai à l'usine en compagnie de
    nos amis. Un vaste bâ timent, percé de larges baies, brû lait dans les trois
    quarts de sa longueur. Le feu sortait par presque toutes les fenê tres; une
    é paisse fumé e traversait la toiture de tuiles, et parfois une flamme se
    faisait jour au milieu des tourbillons noirs. Sur cinq pompes, dont trois
    appartenaient à la ville et deux à la fabrique, une seule é tait là, dirigé e sur
    le coin de la maison qui ne flambait pas encore. Une foule d'environ deux
    mille personnes, où l'on reconnaissait, au premier rang, le groupe des
    autorité s1, sous-pré fet, maire, sergents de ville et gendarmes, regardait
    avec anxié té cet angle du premier é tage que la flamme avait respecté ".


    Tout à coup, un grand cri s'é leva sur la place, et je ne vis plus rien '
    que mon pè re penché vers nous et portant une forme humaine entre les
    bras. Dix hommes de bonne volonté coururent à une é chelle que je
    n'avais pas aperç ue et qu'il touchait pourtant du pied. Le corps fut
    descendu de mains en mains et porté à travers la foule dans la direction
    de l'hô pital, tandis que mon pè re faisait un signe à ses camarades,
    recevait un é norme jet d'eau sur tout le corps et se replongeait tranquil-
    lement dans la fumé e.

    Il reparut au bout d'une minute, et cette fois en apportant une femme
    qui criait. Un immense applaudissement salua son retour, et j'entendis:
    «Vive Dumont» pour la premiè re fois de ma vie. Il faisait horriblement
    chaud; le rayonnement de cet é norme foyer allumait de tous cô té s une ■
    multitude de petits incendies que les pompes é teignaient à mesure. A la
    place où je me tenais, tous les visages ruisselaient de sueur et tous les
    yeux se sentaient brû lé s.

    Mon pè re se montra de nouveau à la fenê tre ouverte: il tenait
    cette fois deux enfants é vanouis. C'é tait la fin; on savait dans la
    fabrique et dans la ville que le chef d'atelier é tait le seul habitant de
    cette maison et que sa petite famille ne comptait pas plus de quatre
    personnes. Il y eut donc une protestation gé né rale lorsqu'on vit que
    le sauveteur allait rentrer dans la fournaise. De tous cô té s on lui
    criait:

    «Assez! Descendez! Dumont! (...)»

    A ce moment, le capitaine, M. Mathey, qui dirigeait la manœ uvre
    des pompes, s'avanç a jusqu'au bas de l'é chelle et dit de sa voix de com-
    mandement:

    «Sapeur Dumont, je vous ordonne de descendre».

    Il ré pondit:

    «Le devoir m'ordonne de rester.

    — Il n'y a plus personne là -haut.

    —Il y a un homme par terre, au fond du couloir.

    — C'est impossible.

    — Je l'ai vu de mes yeux.

    — Encore une fois, descendez! Le feu gagne.

    — Raison de plus pour me hâ ter!»

    A peine avait-il dit ces mots, à peine le son de sa voix s'é tait-il é teint5
    dans mon oreille, que le feu jaillit par toutes les ouvertures de la maison, la
    toiture s'effondra avec un bruit é pouvantable, et tout l'espace compris entre
    les quatre murs du bâ timent ne fut plus qu'une colonne de flammes.

    E. ABOUT, Le Roman d'un brave Homme.


    Примечания:

    1. Группа представителей власти L'autorité (f.) = Le pouvoir de se faire obé ir
    Un professeur ne doit pas manquer d'autorité. Les autorité s (f. pi.) = les gens qui ont
    officiellement une autorité Les autorité s civiles et militaires assistaient à la cé ré monie.

    2 Здесь пламя пощадило.

    3. Здесь- с десяток добровольцев De bonne volonté = qui veulent bien faire

    4. = C'est une raison de plus pourme hâ ter davantage.

    5. V. é teindre. L'eau é teint le feu, l'incendie s'é teint, quand la maison en feu est
    arrosé e par les lances des pompiers La voix s'é teint, elle cesse d'ê tre entendue — A
    peine le son de sa voix s'é tait-il é teint que le feu jailllit: le son de sa voix venait tout
    juste
    de s'é teindre, quand le feu jaillit...

    SUD-OUEST

    J'aime, paresseusement amarré es aux quais de l'Adour, ces pé niches
    effilé es (...). Un é quipage indolent, coiffé de bé rets basques, dé charge
    de leurs flancs un sable irré el et doré. Le commerce doit se faire ainsi

    aux pays de lé gende.

    * * *

    Sur les prairies inondé es qui bordent l'Adour, trois canards semblent
    nager dans du ciel, traç ant derriè re eux comme sillage trois angles
    d'argent.

    Quand vient le soir, les oies qui traversent la riviè re pour regagner
    leur ferme encadrent d'un cercle entiè rement fermé les oisons, si tendres
    et jeunes dans leur duvet neuf, pour les proté ger du courant, qui
    autrement1 les entraî nerait.

    * * *

    Au printemps, dans les prairies d'un vert é meraude, si fraî ches au
    milieu des pins, les poulains violets, grê les, emprunté s2 et charmants,
    s'é battent auprè s des juments: ils appartiennent à la jeunesse de l'anné e.

    * * #

    Les fermes lointaines, maisons landaises blanches ou rosé s, sont
    entouré es d'ajoncs doré s et de chê nes verts. Sur un fond de fumier
    somptueux, les cochons d'un rosé adorable trottinent sur des jambes
    indé cises et flasques (...) au milieu du jeune blé, vert et frais comme une
    herbe nouvelle, des coqs é clatants é voluent comme des flammes. Le
    tout3 est encadré de prairies, de bois et de ciel.

    André SIEGFRIED, de l'Acadé mie franç aise.
    Gé ographie poé tique des cinq continents.


    Примечания-

    1. = On pourrait dire aussi: Les oies protè gent les oisons du courant, sans quoi,
    celui-ci les entraî nerait (ou: sinon, celui-ci les entraî nerait)

    2. Здесь неловкие, неуклюжие. —

    3. = L'ensemble. Tout est pris ici comme nom.

    UN AVARE

    M. Grandet n'achetait jamais ni viande ni pain. Ses fermiers lui
    apportaient par semaine une provision suffisante de chapons, de
    poulets, d'œ ufs, de beurre et de blé (...). Il possé dait un moulin, dont
    le locataire devait, en sus1 du bail2, venir chercher une certaine
    quantité de grains et lui en rapporter le son et la farine. La grande
    Nanon, son unique servante (...) boulangeait elle-mê me, tous les
    samedis, le pain de la maison. M. Grandet s'é tait arrangé avec les
    maraî chers, ses locataires, pour qu'ils le fournissent' de lé gumes.
    Quant aux fruits, il en ré coltait une telle quantité qu'il en faisait
    vendre une grande partie au marché. Son bois de chauffage é tait
    coupé dans ses haies et ses fermiers le lui charroyaient en ville tout
    dé bité, le rangeaient par complaisance dans son bû cher et recevaient
    ses remerciements4. Les seules dé penses connues é taient le pain bé nit,
    la toilette de sa femme, celle de sa fille et le payement de leurs
    chaises à l'é glise, la lumiè re, les gages5 de la grande Nanon, l'é tamage
    de ses casseroles; l'acquittement des impositions, les ré parations de
    ses bâ timents et les frais de ses exploitations. Il avait six cents
    arpents6 de bois ré cemment acheté s, qu'il faisait surveiller par le garde
    d'un voisin, auquel il promettait une indemnité. Depuis cette
    acquisition seulement, il mangeait du gibier.

    BALZAC, Eugé nie Grandet.

    Примечания.

    1. = En plus de: сверх.

    2. Арендной платы

    3. On peut dire: ils le fournissent de lé gumes, ou: ils lui fournissent des lé gumes.
    Les deux phrases ont le mê me sens.

    4. Получали взамен его благодарность (вместо денег).

    5. Жалованье Une domestique reç oit des gages (m. pi.) en paiement de ses
    services, un fonctionnaire reç oit un traitement de l'É tat, un mé decin reç oit des
    honoraires (m. pi.) de son client; un ouvrier reç oit un salaire de son patron.

    6 Арпан — мера площади, равен примерно трети гектара.


    AVEC TON PARAPLUIE

    Avec ton parapluie bleu et tes brebis sales,

    Avec tes vê tements qui sentent le fromage,

    Tu t'en vas vers le ciel du coteau, appuyé

    Sur ton bâ ton de houx, de chê ne ou de né flier.

    Tu suis le chien au poil dur et l'â ne portant

    Les bidons ternes sur son dos saillant.

    Tu passeras devant les forgerons des villages,

    Puis tu regagneras la balsamique montagne

    Où ton troupeau paî tra comme des buissons blancs.

    Là, des vapeurs cachent les pics en se tramant.

    Là, volent des vautours au col pelé et s'allument

    Des fumé es rouges dans les brumes nocturnes.

    Là, tu regarderas avec tranquillité

    L'esprit de Dieu planer sur cette immensité.

    Francis JAMMES, De l'Angé lus de l'aube à l'Angé lus du soir







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