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шествования
В современном разговорном языке формы Imparfait и Plus-que-parfait
du subjonctif заменяются соответственно формами Pré sent и Passé du
subjonctif.
LA FRA NCE À VOL D'OISEA U
Le voyageur qui, venu de l'autre bout du monde par la voie des airs, se trouve soudainement survoler1 la France, cesse de lire ou de sommeiller. Le paysage qu'il aperç oit va se dé rouler en peu d'heures et paraî tra remarqua- blement ordonné: quelques fleuves bien tracé s et toujours pourvus d'eau (ces fleuves sont relié s entre eux, par-dessus les collines, grâ ce à un ingé nieux systè me de canaux que rè glent des é cluses)... au centre du pays, un massif montagneux, qui n'est point un obstacle à la vie et au trafic, car d'innombrables chemins le traversent; aux frontiè res du pays, sauf vers le nord, des chaî nes parfois non mé diocres, puisqu'une d'entre elles comporte le plus haut sommet de l'Europe (...). La vie humaine, dè s que l'on s'é loigne des sommets, est partout sensible. Arrive-t-on2 sur les plateaux fertiles
et dans les plaines verdoyantes, cette vie s'ordonne en hameaux, en villages, en bourgs, en villes. Chaque village est toujours marqué par l'é glise, et souvent par quelque demeure seigneuriale3. Depuis un siè cle, la vie sociale s'est profondé ment transformé e, les châ teaux ont changé de maî tres- ils servent aujourd'hui, souvent, d'é coles, de pré ventoriums, de sanatoriums, d'hô pitaux et de maisons de retraite. Certains d'entre eux sont devenus des musé es.
D'un village à l'autre, d'une ville à l'autre, de belles routes bien dessiné es, bien entretenues, se dé roulent, chargé es de voitures, d'animaux et de passants. Le long des vallons courent les voies ferré es. On aperç oit partout des ouvrages d'art, des ponts, des viaducs. S'il prend la peine de consulter les livres propres à l'instruire de ce qu'il voit, le promeneur du ciel apprend que presque tous ces villages, ces cité s, ces châ teaux, ces palais, portent des noms sonores, plaisants, harmonieux, mê lé s à l'histoire, à la lé gende, à la fable (...).
Mais ce qui frappe le voyageur dè s qu'il arrive au-dessus des ré gions cultivé es, c'est le caractè re parcellaire4 de la campagne franç aise. Les champs sont certes petits, la plupart, et voué s à des cultures diffé rentes en sorte qu'ils pré sentent une grande varié té de couleurs. Les parcelles, souvent, sont closes de haies. Elles alternent avec les jardins, les vergers. Dè s ce premier regard, le voyageur comprend que la France est une des patries de l'individualisme (...).
Plus tard, quand le voyageur aé rien aura pris contact avec le sol, il fera de la France, d'abord entrevue, une connaissance plus intime et plus ré vé latrice encore(...). Il apprendra, s'il ne le sait pas encore, que la France est vraiment le pays de la varié té...
La France, depuis mille ans, n'a cessé de jouer un rô le capital dans toutes les aventures de l'esprit. Elle a donné des saints, des maî tres, des chefs et des hé ros. Ses philosophes ont tenu le gouvernail de la pensé e humaine à travers maintes querelles et maintes bourrasques. Elle a, dans l'architecture et la peinture, manifesté l'une des plus rares vertus: la continuité. Elle vient d'offrir au monde une plé iade de sculpteurs qui ne sont point indignes de figurer à cô té des Gothiques, des Grecs archaï ques ou classiques, et des É gyptiens. Elle fait entendre sa voix5 quand les autres peuples musiciens semblent soudain à bout de souffle. Sa litté rature est, avec la litté rature anglaise, l'une des plus riches du monde. Tel est le fruit d'une lente et raisonnable appropriation6 d'un peuple à une terre et à un climat.
Georges DUHAMEL, Dans la France, gé ographie, tourisme.
Примечания:
1. Vient à survoler
2. si l'on arrive...
3. Помещичью усадьбу. >
4. Поля поделены на небольшие участки.,
5. Par ses musiciens.
6. = Приспособления.
УПРАЖНЕНИЯ
I) Переведите первый абзац текста в план прошедшего и внесите необхо- димые изменения: от слов: «Le voyageur qui, venu... se trouvait», и т.д. Замените aujourd'hui на maintenant.
II) Поставьте глаголы в скобках в соответствующие формы Pré sent, Futur или Passé composé, соблюдая правила согласования времен: Hé lè ne, en se ré veillant, pense avec joie qu'on (ê tre) au 24 dé cembre, veille de Noë l, que ce soir elle (placer) ses souliers devant la cheminé e de la salle à manger, et que le Pè re Noë l (descendre) du ciel et (venir) mettre dans les souliers une poupé e et beaucoup d'autres jouets. Elle sait que demain matin, au ré veil, elle (aller) pieds nus. en chemise de nuit, chercher tous ses cadeaux, qu'elle (entrer) ensuite dans la chambre de ses parents pour les embrasser, et qu'enfin elle (faire) la «grasse matiné e» au lit, au milieu de ses jouets. — Elle est heureuse, mais, par moments, elle se demande si elle (ê tre) assez sage depuis un mois et si le Pè re Noë l (ê tre) assez satisfait d'elle pour lui offrir tous ces cadeaux.
III) Перепишитефразы из упр. II) изменивпри этом временную форму глаголов. Начните следующим образом: " Hé lè ne, en se ré veillant, pensait..." Замените ce soirна le soir; demainна le lendemain.
IV) Поставьте глаголы в скобках в соответствующую временную форму: Lorsque les chars du carnaval (apparaî tre), la foule des spectateurs pousse des cris. — Lorsqu'ils (se montrer), la foule se pré cipitera. — Lorsqu'un char (apparaî tre), tout le monde applaudissait. — Aussitô t que la fê te a eu cessé, on (commencer) à parler du prochain carnaval. — Dè s que la fê te (se terminer), on commenç a à penser à la prochaine. — Quand le navire quitta le port, avec ses voiles blanches, il (ressembler) à un grand oiseau. — Chaque fois qu'il (s'é loigner) sur la mer, il avait l'air d'un bel oiseau. — Pendant que le navire (sortir) de la rade, le ciel s'est assombri. — Le ciel s'assombrissait tandis qu'il (quitter) la rade. — Quand le carnaval aura pris fin, nous (partir) pour la Corse. — Aprè s que nous (survoler) les grandes forê ts de châ taigniers et de chê nes, nous apercevrons la mer violette.
V) (a) В следующих фразах поставьте глагол главного предложения в Passé composé, изменив соответственно временную форму глагола придаточного предложения: Je reviens en Corse parce que j'y ai dé jà é té accueilli à bras ouverts. — Comme j'ai é té enchanté de mon premier sé jour, je dé cide d'en faire un second. — Comme j'ai pris beaucoup de plaisir en Corse, j'y reviens. — Un incendie é clate dans le maquis, parce qu 'il a fait trè s sec depuis quelque temps. — Ce jeune homme «prend
le maquis parce qu'il a voulu venger le meurtre d'un de ses frè res. — Comme Napolé on a rendu la Corse cé lè bre, ses compatriotes lui restent fidè les
(б) Выполните то же задание, поставив глагол главного предложения в Passé simple: La сhevre dresse la tê te parce qu'elle a entendu un long hurlement. — Comme elle a entendu hurler le loup, la chè vre cesse de brouter. — Elle s'allonge par terre, parce qu 'elle n 'a pas pu vaincre le loup. — M. Seguin a de la peine parce que sa chè vre s'est enfuie.
VI) В следующих фразах поставьте глагол главного предложения в Imparfait, изменив соответственно временную форму глагола придаточного предложения: // у a tant de baigneurs allongé s sur la plage qu'on ne peut plus circuler. — Vous faites tant de bruit que je n'entends plus rien. — Il y a tellement de paille dans la grange qu'on ne peut l'y mettre toute. — Les animaux sont si sains qu'on n'appelle jamais le vé té rinaire. — Le professeur est si calme que je ne le vois jamais en colè re. — La ré colte n 'est pas si belle qu 'elle l'a é té l'anné e pré cé dente. — Le village est plus bruyant qu'il ne l'a jamais é té. — // y a sur les cheminé es moins de cigognes qu'on ne me Va dit. — Je voyage en avion comme vous me l'avez conseillé.
VII)В следующих фразах поставьте глагол главного предложения в Imparfait. изменив соответственно в придаточном предложении временную форму глагола, употребленного в Subjonctif (письменный язык): Le pré fet veut que la fê te ait lieu sur la grande place. — Les é lecteurs doutent que ce candidat soit sé rieux. — Le maire regrette que le pré fet ne vienne pas assister à la fê te du village — On souhaite que ce vieux maire prenne sa retraite. — On s'é tonne qu'il soit dé jà au lit. — Elle ne pense pas que son frè re revienne.
VIII) В следующих фразах поставьте глагол главного предложения в Imparfait (разговорный язык): Je dé sire que mon fils (finisse) vite son travail. — Je souhaite qu'if (ait fini) bientô t son travail. — Je ne crois pas qu'il (revienne) bientô t. — Je doute qu'il (soit revenu) dé jà. — Je regrette qu'il (parte) — Je m'é tonne qu'ils (soient partis).
ТЕКСТЫ ДЛЯ ЧТЕНИЯ: УРОКИ 64 — 70
LA FETE NATIONALE AU VILLAGE
II y a d'abord les courses, que nous regarderons de la petite grille, puisqu'elles partent du café Daniel et s'arrê tent au pont de la Surprise.
La course en sac: sept ou huit «enragé s de gamins», dit papa, en manches de chemise et enfourné s jusqu'à la taille dans un sac à pommes de terre, suants, essoufflé s, gigotant comme des diables, avancent par petits bonds ridicules sous le soleil torride, au milieu d'un nuage de poussiè re blanche. C'est le cadet des Roy, muet, noir, ruisselant, farouche, gros comme une allumette et acharné comme un taon' qui reç oit son prix et, aprè s quoi, tombe en faiblesse2...
Puis la course aux grenouilles: les concurrents voiturent chacun devant soi, sur une brouette dont les cô té s sont enlevé s, une grenouille. Tous les deux tours de roue, la misé rable bestiole affolé e se lance à bas de son char, le conducteur bondit, la ramasse à pleine main; elle lui é chappe, saute à nouveau; il tré buche, tombe sur elle, la reconquiert, la rejette sur sa planche, poussié reuse, asphyxié e, les yeux plus que jamais hors de la tê te, puis repart à toute vitesse pour recommencer trois pas plus loin. La course ne vaut que si la grenouille arrive au bout vivante...
Cette fois, c'est Louis Tourneau qui triomphe, sa cliente s'é tant tenue é trangement tranquille tout le long du parcours.
Une voix grincheuse s'é lè vera bien pour pré tendre que le malin garç on... avait eu la pré caution de faire absorber, avant la course, à ladite cliente «un bon demi-verre de jus de tabac», mais les membres du jury né gligent cette accusation qui se perd dans le rire et les bravos.
L'affluence remonte ensuite vers le bourg pour les jeux sur la place de l'é glise...
Aprè s la revue des pompiers, de grands gars farauds essaient en vain, tour à tour, d'atteindre le sommet du mâ t de cocagne où pendent un canard, un paquet de café, une bouteille de rhum. Le fû t3, dû ment savonné, les voit reglisser l'un aprè s l'autre, jusqu'au sol, à toute allure, é carlates et dé pité s; à peine ont-ils vaincu laborieusement le premier tiers.
Il n'y aura encore que ce singe de petit Roy, plus acharné que jamais, pour se hisser par trois fois victorieusement jusqu'à ces tré sors alimentaires, et les rapporter un à un entre ses dents.
Примечания:
1 Слепень (произносится km).
2. Лишается сознания (устар).
3. Le fû t d'un arbre = la partie la plus basse du tronc, où il n'y a pas de branches Le fû t d'un mâ t. d'une colonne ressemble au tronc de l'arbre. Le fû t les voit reghsser gallicisme, où le verbe voir n'a pas de valeur pré cise = sur le fû t, ils glissent de nouveau.
HISTOIRES DE CHASSE DANS UN MESS D'OFFICIERS BRITANNIQUES
... Parker dé crivait la chasse à dos d'é lé phant.
«Vous ê tes debout sur votre bê te, solidement attaché par une jambe, et vous vous portez dans le vide, tandis que l'é lé phant galope: c'est vraiment trè s excitant.
— Je le crois sans peine, dit Aurelle.
— Oui, mais si vous l'essayez, dit le colonel à Aurelle avec sollicitude, n'oubliez pas de descendre par la queue aussi vite que vous pourrez si votre é lé phant rencontre un terrain maré cageux. Son mouve- ment instinctif, s'il sent le sol se dé rober sous lui, est de vous saisir avec sa trompe et de vous dé poser sur le sol devant lui pour s'agenouiller sur quelque chose de solide..
— J'y penserai, sir, dit Aurelle.
— Aux É tats malais, dit le major du gé nie, les é lé phants sauvages circulent librement sur les grandes routes. J'en ai souvent rencontré quand je me promenais à motocyclette. É videmment, si votre tê te ou votre costume leur dé plaisent, ils vous cueillent au passage et vous é crasent la tê te d'un coup de patte. Mais en dehors de cela, ils sont tout à fait inoffensifs.
— Padre, dit Aurelle, j'ai toujours pensé que vous é tiez un sportsman, mais avez-vous ré ellement chassé la grosse bê te?
— Comment (...) ré ellement chassé? J'ai tué à peu prè s tout ce qu'un chasseur peut tuer, depuis l'é lé phant et le rhinocé ros jusqu'au tigre et au lion. Je ne vous ai jamais raconté l'histoire de mon premier lion?
— Jamais, Padre, dit le docteur, mais vous allez le faire (...)
— J'é tais à Johannesburg et dé sirais vivement faire partie d'un club de chasseurs où je comptais beaucoup d'amis. Mais les rè glements exigeaient que tout candidat eû t tué au moins un lion. Je partis donc
avec un [noir] chargé de plusieurs fusils et, le soir, me mis à l'affû t avec lui. prè s d'une source dans laquelle un lion avait coutume de venir boire.
«Une demi-heure avant minuit, j'entendis un bruit de branches cassé es et au-dessus d'un buisson apparaî t la tê te du lion. Il nous avait sentis et regardait de notre cô té. Je le mets en joue et tire: la tê te disparaî t derriè re le buisson, mais au bout d'une minute remonte.
«Un second coup: mê me ré sultat. La bê te, effrayé e, cache sa tê te, puis la dresse à nouveau. Je restais trè s calme: j'avais seize coups à tirer dans mes diffé rents fusils. Troisiè me coup: mê me jeu. Quatriè me coup: mê me jeu. Je m'é nerve, je tire plus mal, de sorte que. aprè s le quinziè me coup, l'animal redresse encore la tê te.
[«— Si tu manques celui-là, me dit le noir, nous serons mangé s.»]
«Je prends une longue inspiration, je vise soigneusement, je tire. L'animal tombe... Une seconde... deux... dix... il ne reparaî t pas. J'attends encore un peu, puis, triomphant, je me pré cipite, et devinez ce que je trouve derriè re...
— Le lion, Padre.
— Seize lions (...) et chacun d'eux avec une balle dans l'œ il: c'est ainsi que je dé butai».
A. MAUROIS, Les Silences du colonel Bramble.
SI...
Si toutes les filles du monde voulaient s'donner la main, tout autour de la mer elles pourraient faire une ronde.
Si tous les gars du monde voulaient bien ê tr'marins, ils fraient avec leurs barques un joli pont sur l'onde.
Alors on pourrait faire une ronde autour du monde, si tous les gens du monde voulaient s'donner la main.
Paul FORT, Ballades franç aises.
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